Tout tourne autour du Soleil,
J’ai osé…
L’histoire décalée à lire sans modération ou les tribulations de deux jeunes, Youenn et Volodia, qui voulaient se glisser entre les mailles du filet. L’histoire de deux jeunes qui voulaient tracer leur route entre Ciment et Belle Étoile. Et pour cela il leur fallait OSER… Oser s’affranchir des chimères et des griefs. Oser se débarrasser de tout ce qui cloue au sol : des certitudes en passant par les préjugés pour ouvrir le champ des possibles.
Une histoire de temps qui passe encore et encore ; de temps qui défile et tourne inexorablement, mais autour de quoi ? Dans notre univers ouvert, une histoire d’étoiles qui filent et défilent dans le ciel. Une histoire de petits diable en cavales qui me font tourner la tête. A quelle étoile se fier pour tracer sa route ? La belle étoile ?
J’ai Osé toucher le ciel. Volodia monte dans les voiles pour attraper le bleu d’un ciel haut-alpin outrageusement pur et beau.
J’ai Osé Attraper mon étoile. A chacun sa méthode. Youenn, choisit une option radicale pour embrasser son étoile noire. De son côté Volodia s’approche sur le côté par une aérienne traversée.
J’ai Osé danser autour de mon étoile. A force de 360° et de courbes, tels deux derviches tourneurs, nos deux jeunes sont habités par la transe. L’instant où la glisse devient danse avec la neige… Une danse dont on ne se lasse qu’une fois l’été venu. Lorsque cette étoile hivernale, qui scintille de son blanc virginal, a repris le chemin des rivières pour nous inviter à d’autres danses plus aquatiques.
La bonne étoile tant côtoyée ne serait-elle pas posée le soir venu sur la plus haute des branches de la plénitude ? Oserez-vous regarder et contempler votre bonne étoile, sans casser la fine branche sur laquelle elle repose.
Spéciale dédicace à la petite rebelle Marseille, qui a aussi inspiré de cette histoire Osée, inspiratrice aussi de mes deux petits troublions « solaires » qui tournent dans mes pattes.